La vie du club |
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Voila comme déjà écrit, une radio que je n'écoute JAMAIS.
Et PAB, on va lui prouveren fin de saison qu'il est encore plus con qu'il ne le parait !!!J'ai entendu ça ce matin avec Jérôme daret invité . Par contre aux dires de PAB on est mal barré Nevers budget 9 millions d'euros vanne 8 millions d'euros et nous lol. 4,5 millions d'euros dur dur.
Je ne comprends pas que le club se rende à ses invitations !!! Aussi tache que l'homophobe de C8 !!!
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il y en a qui se débrouille beaucoup mieux manifestement ...
extrait de l'équipe du jour
La signature de Gonzalo Quesada comme manager sportif en est un premier signe. Si le technicien argentin a accepté de diviser son salaire par deux (il retrouvera son salaire du Stade Français en cas de montée en Top 14), son engagement prouve la solidité du projet. Il sera accompagné de Jack Isaac pour les arrières et de Simon Raiwalui pour les avants, qui va être libéré de sa dernière année de contrat par le Stade Français.
Pierre Bernard en renfort ?
Côté joueurs, Gonzalo Quesada travaille enfin sur le recrutement en vue de la saison prochaine. Et selon nos informations, le BO pourrait réussir un premier coup significatif avec la signature de Pierre Bernard. Le demi d'ouverture de Toulon n'entre pas dans les plans de Fabien Galthié, le futur manager du RCT qui compte sur François Trinh-Duc, Jonathan Wisniewski et Luke McAlister. Pierre Bernard devrait être libéré de sa dernière année de contrat pour rejoindre le pays basque. Un bon coup puisque Bernard est un buteur reconnu. D'autres contacts ont été lancés. Comme déjà évoqué, Adam Ashley-Cooper a été sondé, ainsi que les frères Armitage (Steffon évolue à Pau, Delon à Lyon) plus récemment. Un signe supplémentaire des ambitions biarrotes. Enfin, selon nos informations, Arnaud Tourtoulou est en pourparlers avec Nicolas Brusque pour intégrer le projet et prendre un rôle stratégique au sein du club.
11 millions d'euros de budget
Côté finances, la fin des années sous la perfusion de Serge Kampf a été parfaitement digérée et n'a pas entraîné de cataclysme comme dans d'autres clubs. Sous l'impulsion du duo Benjamin Gufflet-Bruno Ledoux, l'actionnariat a été renforcé avec la formation d'un pool majoritaire qui detient près deux tiers du BO et composé d'une dizaine d'actionnaires sous le nom de code : Biarritz Rugby Évolution. Benjamin Gufflet et Bruno Ledoux, les deux hommes forts du nouveau projet, ont notamment créé le groupe média OSR Bruno Ledoux Holding Média. Une rencontre entre Nicolas Brusque, le president du BO, et Benjamin Gufflet a débouché sur son entrée au capital du club basque via sa société d'investissement A-Team Sports Investments. Le BO semble aujourd'hui redevenir attractif et de nouveaux investisseurs tapent à la porte. L'an prochain le budget sera proche des 11 millions d'euros soit une augmentation de près de 20% par rapport à la saison passée. De quoi viser la remontée en Top 14, trois ans après la relégation.
Maxime Raulin
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Aujourd'hui un article dans Sud Ouest titre "USD : la vie après Daret se dessine" suivi du chapeau " Avec le départ de son manager, le club doit se réorganiser. On devrait y voir plus clair d'ici deux semaines"...
La journaliste rappelle toute l'implication majeure de J. Daret dans le club, puis justifie le titre de son article par les propos du Président Célhay : "Il est acté que J. Daret sera remplacé à son poste de Directeur du Centre de Formation, c'est de toute façon obligatoire; Sur le poste de Manager, nous allons étudier la situation et voir les différentes options; on ne s'est pas encore projeté. Je vais rencontrer les entraîneurs pour jauger les intentions" .
Voilà encore une situation gérée avec un manque flagrant de réactivité opérationnelle et d'évaluation et connaissances des ressources humaines du club : qui devient le Directeur du Centre de Formation (Dulin ?) et, pour le poste de Manager, lequel de ses entraîneurs actuels a le plus de qualités et de réseaux de connaissances avec les agents de joueurs (St André ?) ???
L'USD a toujours le temps pour faire les choses : se structurer, faire le point sur les contrats de joueurs, en recruter, informer ses abonnés ...
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La journaliste rappelle toute l'implication majeure de J. Daret dans le club, puis justifie le titre de son article par les propos du Président Célhay : "Il est acté que J. Daret sera remplacé à son poste de Directeur du Centre de Formation, c'est de toute façon obligatoire; Sur le poste de Manager, nous allons étudier la situation et voir les différentes options; on ne s'est pas encore projeté. Je vais rencontrer les entraîneurs pour jauger les intentions" .
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Hou il est en pétard mon coprésident, bonne journée mon poulet !
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et en extra balle , je vous livre un extrait d'un article de L'Equipe consacré à l'ASM. Bien sûr toute ressemblance avec l'USD ne serait que fortuite , y compris le nombre de finale ...
"Les mentalités ont commencé à changer lentement à partir du milieu des années 1990, face au professionnalisme grandissant du monde du rugby. Mais les évolutions ne se sont concrétisées qu'à partir du milieu des années 2000. Il a fallu pour ça deux prises de conscience. Celle de Clermont, «qui avait des schémas anciens de ville endormie, où les élus ne pensaient pas qu'un club puisse être un vecteur d'image», analyse Jacques Champay. Et celle de l'ASM, qui, au milieu des années 1990, s'est posé la question philosophique du passage au professionnalisme. «Ç'a été un choc, parce qu'on avait une forme associative. On s'est demandé si on n'allait pas garder ça, quitte à évoluer en Deuxième Division !», rappelle Lhermet. Avant de finalement décider d'adhérer au rugby pro. "
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et en extra balle , je vous livre un extrait d'un article de L'Equipe consacré à l'ASM. Bien sûr toute ressemblance avec l'USD ne serait que fortuite , y compris le nombre de finale ...
"Les mentalités ont commencé à changer lentement à partir du milieu des années 1990, face au professionnalisme grandissant du monde du rugby. Mais les évolutions ne se sont concrétisées qu'à partir du milieu des années 2000. Il a fallu pour ça deux prises de conscience. Celle de Clermont, «qui avait des schémas anciens de ville endormie, où les élus ne pensaient pas qu'un club puisse être un vecteur d'image», analyse Jacques Champay. Et celle de l'ASM, qui, au milieu des années 1990, s'est posé la question philosophique du passage au professionnalisme. «Ç'a été un choc, parce qu'on avait une forme associative. On s'est demandé si on n'allait pas garder ça, quitte à évoluer en Deuxième Division !», rappelle Lhermet. Avant de finalement décider d'adhérer au rugby pro. "
Certains clubs, dont l'ASM, jouissent d'une sacré image, alors qu'ils sont à l'origine de bien des dérives dans le sport professionnel.
J'en ai presque la larme à l'oeil de les lire à ces 2 clowns, notamment le J-M Lhermet ...
Depuis que le professionnalisme existe dans le rugby, ce club, qui a pourtant une image bien lisse, surpaye, triche et magouille. Mais le pire, c'est qu'ils viennent faire la leçon...Trop c'est trop.
Dans les années 90 et 2000, ils avaient la moitié de l'équipe de France et ont contribué grandement à la flambée des salaires dans la rugby (Saint-André, Magne, Viars, Merceron Troncon, Menieu, Azam, Merle, Costes, etc etc... il y en a tellement qu'on ne peut pas tous les citer). L'ASM a toujours eu le plus gros budget, cette année encore d'ailleurs, et vient donner des leçons...
Aujourd'hui, leur président, le marquis, dont il faut reconnaître une grande qualité (la discrétion), continue de déraper dans tous les sens et la presse ne voit que les dérapages verbaux du Varois.. C'est fou quand même.
Le père DE CROMIERES qui est à l'origine de la salary cap, est aujourd'hui le plus gros tricheur avec le Syrien de Montpellier. Cette fameuse salary cap qui était censée "refouler les étrangers" du top 14, fait qu'li y a de plus en plus de stars.
L'année prochaine, l'ASM recrutera Bethan, Uhali et Laidlaw comme étrangers, excusez du peu ! Comme Français, pas moins de deux internationaux, dont un pilier qui va devenir le joueur Français le plus payé de tous les temps ! Rabat SLIMANI ! Et ça vient faire la leçon...avec 30 boules de budget ! Décidément, certains clichés restent bien de mise....
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et en extra balle , je vous livre un extrait d'un article de L'Equipe consacré à l'ASM. Bien sûr toute ressemblance avec l'USD ne serait que fortuite , y compris le nombre de finale ...
"Les mentalités ont commencé à changer lentement à partir du milieu des années 1990, face au professionnalisme grandissant du monde du rugby. Mais les évolutions ne se sont concrétisées qu'à partir du milieu des années 2000. Il a fallu pour ça deux prises de conscience. Celle de Clermont, «qui avait des schémas anciens de ville endormie, où les élus ne pensaient pas qu'un club puisse être un vecteur d'image», analyse Jacques Champay. Et celle de l'ASM, qui, au milieu des années 1990, s'est posé la question philosophique du passage au professionnalisme. «Ç'a été un choc, parce qu'on avait une forme associative. On s'est demandé si on n'allait pas garder ça, quitte à évoluer en Deuxième Division !», rappelle Lhermet. Avant de finalement décider d'adhérer au rugby pro. "
Certains clubs, dont l'ASM, jouissent d'une sacré image, alors qu'ils sont à l'origine de bien des dérives dans le sport professionnel.
J'en ai presque la larme à l'oeil de les lire à ces 2 clowns, notamment le J-M Lhermet ...
Depuis que le professionnalisme existe dans le rugby, ce club, qui a pourtant une image bien lisse, surpaye, triche et magouille. Mais le pire, c'est qu'ils viennent faire la leçon...Trop c'est trop.
Dans les années 90 et 2000, ils avaient la moitié de l'équipe de France et ont contribué grandement à la flambée des salaires dans la rugby (Saint-André, Magne, Viars, Merceron Troncon, Menieu, Azam, Merle, Costes, etc etc... il y en a tellement qu'on ne peut pas tous les citer). L'ASM a toujours eu le plus gros budget, cette année encore d'ailleurs, et vient donner des leçons...
Aujourd'hui, leur président, le marquis, dont il faut reconnaître une grande qualité (la discrétion), continue de déraper dans tous les sens et la presse ne voit que les dérapages verbaux du Varois.. C'est fou quand même.
Le père DE CROMIERES qui est à l'origine de la salary cap, est aujourd'hui le plus gros tricheur avec le Syrien de Montpellier. Cette fameuse salary cap qui était censée "refouler les étrangers" du top 14, fait qu'li y a de plus en plus de stars.
L'année prochaine, l'ASM recrutera Bethan, Uhali et Laidlaw comme étrangers, excusez du peu ! Comme Français, pas moins de deux internationaux, dont un pilier qui va devenir le joueur Français le plus payé de tous les temps ! Rabat SLIMANI ! Et ça vient faire la leçon...avec 30 boules de budget ! Décidément, certains clichés restent bien de mise....
chacun retient ce qu'il veut d'un article. pour moi, c'est ce que j'ai surligné. qui fait le parallèle avec Dax.
les moyens des 2 clubs n'ont rien de comparable certes. mais les questions ne méritent plus d'être posées car les réponses sont connues.
oui, un club est un vecteur d'image
oui, Dax va descendre pour ne pas avoir eu la volonté d'aborder de façon professionnelle le rugby...PRO !
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et en extra balle , je vous livre un extrait d'un article de L'Equipe consacré à l'ASM. Bien sûr toute ressemblance avec l'USD ne serait que fortuite , y compris le nombre de finale ...
"Les mentalités ont commencé à changer lentement à partir du milieu des années 1990, face au professionnalisme grandissant du monde du rugby. Mais les évolutions ne se sont concrétisées qu'à partir du milieu des années 2000. Il a fallu pour ça deux prises de conscience. Celle de Clermont, «qui avait des schémas anciens de ville endormie, où les élus ne pensaient pas qu'un club puisse être un vecteur d'image», analyse Jacques Champay. Et celle de l'ASM, qui, au milieu des années 1990, s'est posé la question philosophique du passage au professionnalisme. «Ç'a été un choc, parce qu'on avait une forme associative. On s'est demandé si on n'allait pas garder ça, quitte à évoluer en Deuxième Division !», rappelle Lhermet. Avant de finalement décider d'adhérer au rugby pro. "
Certains clubs, dont l'ASM, jouissent d'une sacré image, alors qu'ils sont à l'origine de bien des dérives dans le sport professionnel.
J'en ai presque la larme à l'oeil de les lire à ces 2 clowns, notamment le J-M Lhermet ...
Depuis que le professionnalisme existe dans le rugby, ce club, qui a pourtant une image bien lisse, surpaye, triche et magouille. Mais le pire, c'est qu'ils viennent faire la leçon...Trop c'est trop.
Dans les années 90 et 2000, ils avaient la moitié de l'équipe de France et ont contribué grandement à la flambée des salaires dans la rugby (Saint-André, Magne, Viars, Merceron Troncon, Menieu, Azam, Merle, Costes, etc etc... il y en a tellement qu'on ne peut pas tous les citer). L'ASM a toujours eu le plus gros budget, cette année encore d'ailleurs, et vient donner des leçons...
Aujourd'hui, leur président, le marquis, dont il faut reconnaître une grande qualité (la discrétion), continue de déraper dans tous les sens et la presse ne voit que les dérapages verbaux du Varois.. C'est fou quand même.
Le père DE CROMIERES qui est à l'origine de la salary cap, est aujourd'hui le plus gros tricheur avec le Syrien de Montpellier. Cette fameuse salary cap qui était censée "refouler les étrangers" du top 14, fait qu'li y a de plus en plus de stars.
L'année prochaine, l'ASM recrutera Bethan, Uhali et Laidlaw comme étrangers, excusez du peu ! Comme Français, pas moins de deux internationaux, dont un pilier qui va devenir le joueur Français le plus payé de tous les temps ! Rabat SLIMANI ! Et ça vient faire la leçon...avec 30 boules de budget ! Décidément, certains clichés restent bien de mise....
chacun retient ce qu'il veut d'un article. pour moi, c'est ce que j'ai surligné. qui fait le parallèle avec Dax.
les moyens des 2 clubs n'ont rien de comparable certes. mais les questions ne méritent plus d'être posées car les réponses sont connues.
oui, un club est un vecteur d'image
oui, Dax va descendre pour ne pas avoir eu la volonté d'aborder de façon professionnelle le rugby...PRO !
Oui oui, il n'est pas question de retenir telle ou telle chose...
Que Dax n'ait pas su prendre le virage du professionnalisme, tout le monde en sera d'accord. Que certaines personnes de ce club et/ou de la ville ne voient pas qu'un club de sport qui marche bien, peut être un vecteur d'image et un levier de croissance locale, je pense qu'on en a tous à peu près conscience...
Mais de la à comparer Dax à Clermont que tu cites presque comme un exemple... Alors qu'il n'y a pas plus fourbe que ce club...Zut quoi, trouve nous d'autres exemples !
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