J'ai trouver ce texte sur Facebook et j'ai pensé qu'il avait sa place ici puisque je connait au moins une MAMIE qui chouchoute ou a chouchouté nos rouge et blanc


Monsieur Rusigby
1 h ·
La mamy ( bonne fête)
Dans tous les clubs, qu’ils soient ovales ou autres, il y en a au moins une. Une mémé, une mamy. La mamy de toutes et tous. Des fois, elle n’a même pas besoin d’être une vraie grand-mère pour être une vraie mamy. Parce que la vie a fait qu’elle n’a pas eu la chance d’avoir de petits enfants, elle s’est trouvé une bonne raison d’en avoir tout plein en devenant bénévole dans un club de rugby. On sait rien de sa vraie vie et on veut pas forcément savoir. On sait juste qu’elle est là, tout le temps, toujours. On sait juste qu’on peut compter sur elle pour n’importe quoi. On sait juste que c’est elle qui est derrière les fourneaux, dans la guitoune des entrées ou à la rigueur administrative. On sait surtout que quand elle n’est pas là, c’est pas tout à fait pareil et qu’il manque quelque chose ou quelqu’un. C’est celle que l’on remarque quand elle n’est pas là. Quand elle est là, c’est-à-dire à peu près tout le temps, c’est pas le genre à se faire remarquer ou faire pour recevoir. Elle est là par plaisir, par bonté, par dévotion. Elle est là parce qu’elle l’a décidé. Une femme libre, une femme simple qui a trouvé au club, une grande famille qui ne posera pas de questions.
Des fois elle sourit à nos blagues à deux balles, elle nous gronde un peu, elle rouspète quand on la taquine, elle rougit quand on la dragouille gentiment. Mais on connait la limite. On sait parce que c’est ainsi, jusqu’où on doit aller. Il y a de la reconnaissance, de la sympathie, un peu d’amour et beaucoup de respect.
On lui en fait voir de toutes les couleurs comme ceux de la génération d’avant et surtout comme ceux de la génération d’après.
On sait pas trop pourquoi, mais la mamy, qu’on appelle aussi et souvent par son prénom ou son surnom, on l’aime tous et on se dit que la fête des grand-mères, si c’est pas nous qui lui souhaitons, ça sera personne d’autres.

Bien vu Francis pour cet article inséré !

Avec Dalton, nous avions une telle mamie, protectrice et attentive pour les joueurs de l'USD, qui prenait place à proximité de nous en tribune : Bernadette !

Bon souvenir et bonne santé pour elle !

marcos écrit: écrit:

Bien vu Francis pour cet article inséré !

Avec Dalton, nous avions une telle mamie, protectrice et attentive pour les joueurs de l'USD, qui prenait place à proximité de nous en tribune : Bernadette !

Bon souvenir et bonne santé pour elle !

Je connait aussi Bernadette ,c'est d’ailleurs à elle que je fait allusion dans mon post.Si elle vien nous lire je lui fait une bise

marcos écrit: écrit:

Bien vu Francis pour cet article inséré !

Avec Dalton, nous avions une telle mamie, protectrice et attentive pour les joueurs de l'USD, qui prenait place à proximité de nous en tribune : Bernadette !

Bon souvenir et bonne santé pour elle !

Je connait aussi Bernadette ,c'est d’ailleurs à elle que je fait allusion dans mon post.Si elle vien nous lire je lui fait une bise

Je copie le texte et je vais le mettre sur sa page facebook...

Sur Facebook, toujours du même auteur .Merci M. Rusigby

Monsieur Rusigby
1 h ·
Les supporters sont magnifiques..
Mais attention ! Je ne vais pas vous parler des supporters des clubs professionnels ou de ces supporters qui arrivent de nulle part en même temps que les phases finales. Non, je vais vous causer des vrais, de ceux qui sont toujours là, et peu importe la météo ou la division. Présents quoi qu’il arrive. Dans les bons et dans les mauvais moments. Ceux-là, quand tu les vois plus au stade, c’est qu’ils sont morts ou pas loin de l’être.
Qu’ils se rendent seul au match ou qu’ils arrivent en bande ou en famille, chacun d’eux à ses habitudes, ses manies, son petit rituel, et, chose tout à fait étonnante, quand je vais vous décrire quelques spécimen que nous avons ici, à Issoire, vous vous rendrez compte par vous-même que chez vous : tout pareil ! Vous avez exactement les mêmes. La magie du rugby certainement.
D’abord, il y a toujours celui qui arrive bien en avance pour le lever de rideau. Plus par peur de ne pas trouver une place de parking et de voir sa place habituelle occupée par un margoulin sans foi. Il prend toujours sa petite bourriche à deux euros qui lui permet par la même occasion de décortiquer la composition de l’équipe qui va avec la bourriche.
Il y a aussi l’ancien joueur, qui vient supporter son équipe de toujours et qui a du mal à pas prendre l’affaire au sérieux. Lui, il reste debout. Main courante, jamais loin du banc des entraineurs et pas trop loin non plus de la buvette. Il fait du bruit, encourage et parfois regrette le bon temps des générales. D’une mauvaise foi tout à fait parfaite, il n’a quasiment jamais vu une équipe adverse plus forte que ses préférés. Les défaites à domicile ne sont uniquement dues à une incompétence extraordinaire de l’arbitre.
Il y a bien sur celui qui peut pas s’empêcher de suivre le ballon. Toujours dans l’axe. Il encourage, soutien sans cesse et, en cas de match très ouvert peut facilement parcourir autant de distances que n’importe quel joueur du match. Bien lancé, il se permet aussi quelques piques à l’arbitre de touche, forcément escroc dans l’âme.
En tribune, chacun sa place, toujours la même, qu’on peut même réserver en cas de retard, sans que personne n‘y trouve à redire.
Certains restent en tribune, mais toujours debout. Tout en haut, pas loin du speaker. C’est de là qu’on voit le mieux et on est à l’abri.
Les vrais puristes préféreront la main courante opposée aux tribunes. 25 ans minimum qu’ils viennent au match à domicile et 25 ans qu’ils braillent d’avoir le soleil dans les yeux, sans jamais avoir eu l’idée de changer de place. Allez comprendre.
Sinon, n’oublions surtout pas de garder une large partie haute des tribunes, pour les meutes et les bandes. La place des cadets et des juniors. Ils vivent en bande, ils braillent en bande et balancent quelques vannes bien senties pour épater la galerie et impressionner les filles qu’ils ont invitées.
Et puis y a les petits. Eux, ils sont derrière les tribunes à faire des matchs, à se rouler dans l’herbe ou la boue. Pour eux, pas besoin d’enfiler les habits du dimanche pour aller au match. Ils réapparaitront à la fin du vrai match en demandant à leur parents : « Qui c’est qu’a gagné

Un coup de plus pour les bénévoles toujours sur Facebook et du même auteur Merci


Un jour-un bénévole
Celui qui sent la frite.
Dimanche, jour de match.
Bien sûr t’auras les joueurs et les coachs qui arriveront en plus ou moins tenue de sport. Pour l’arbitre, ce sera chemise cravate et sac à roulettes. Ensuite, les supporters et les spectateurs : habits du dimanche pour certains, tenue décontractée pour d’autres. Un beau mélange. Les dirigeants , les responsables de buvette, habillés pour l’occasion : du pratique pour donner une coup de main, du à l’aise pour être à l’aise justement.
Et puis t’as lui, celui qui tient la grignoterie. Le bénévole dans toute sa splendeur et sa modestie. Lui aussi, habillé de circonstance : un truc qui craint pas. Des fringues capables de ramasser quelques taches de graisses, de ketchup, de mayo et d’huile. Il préparera son affaire dès le matin. Vérifiera le matériel, la qualité de l’huile. Il épluchera avec son équipe les kilos de patates ou, si c’est la grosse effervescence, prévoira le camion frigo pour les sacs de congelés. Et puis préparer les barquettes, ouvrir le sac de serviettes ou d’essuie-main. Anticiper pour être au top. Et le pain. Ne pas oublier le pain.
Et en avant..
Il restera sous son barnum, jamais loin de ses friteuses et des planchas. Le nez dans le guidon, les naseaux dans la fumée et le sourire aux lèvres. Mal placé pour voir ne serait-ce qu’un bout de match. Il arrivera quand même à jeter un œil sur le score et suivra la rencontre au gré des cris des supporters. La mi-temps sera son coup de feu, et il lui restera ensuite 40 minutes pour bien préparer l’après-match. Des frites, de la ventrêche, des saucisses, des merguez. Tout ce qu’il faut pour se remettre de nos émotions et pour éponger un minimum ce que propose la buvette..
Et tout ça, jusqu’à ce que les derniers gourmands rejoignent le club house.
Ensuite, il rangera, nettoiera, pliera, toujours avec son équipe. Boira un coup avec le sentiment du travail bien fait, et rentrera chez lui avec son odeur de frites.
Content de lui, heureux des autres, en attendant le prochain dimanche à domicile pour pouvoir tout recommencer…

Un coup de plus pour les bénévoles toujours sur Facebook et du même auteur Merci


Un jour-un bénévole
Celui qui sent la frite.
Dimanche, jour de match.
Bien sûr t’auras les joueurs et les coachs qui arriveront en plus ou moins tenue de sport. Pour l’arbitre, ce sera chemise cravate et sac à roulettes. Ensuite, les supporters et les spectateurs : habits du dimanche pour certains, tenue décontractée pour d’autres. Un beau mélange. Les dirigeants , les responsables de buvette, habillés pour l’occasion : du pratique pour donner une coup de main, du à l’aise pour être à l’aise justement.
Et puis t’as lui, celui qui tient la grignoterie. Le bénévole dans toute sa splendeur et sa modestie. Lui aussi, habillé de circonstance : un truc qui craint pas. Des fringues capables de ramasser quelques taches de graisses, de ketchup, de mayo et d’huile. Il préparera son affaire dès le matin. Vérifiera le matériel, la qualité de l’huile. Il épluchera avec son équipe les kilos de patates ou, si c’est la grosse effervescence, prévoira le camion frigo pour les sacs de congelés. Et puis préparer les barquettes, ouvrir le sac de serviettes ou d’essuie-main. Anticiper pour être au top. Et le pain. Ne pas oublier le pain.
Et en avant..
Il restera sous son barnum, jamais loin de ses friteuses et des planchas. Le nez dans le guidon, les naseaux dans la fumée et le sourire aux lèvres. Mal placé pour voir ne serait-ce qu’un bout de match. Il arrivera quand même à jeter un œil sur le score et suivra la rencontre au gré des cris des supporters. La mi-temps sera son coup de feu, et il lui restera ensuite 40 minutes pour bien préparer l’après-match. Des frites, de la ventrêche, des saucisses, des merguez. Tout ce qu’il faut pour se remettre de nos émotions et pour éponger un minimum ce que propose la buvette..
Et tout ça, jusqu’à ce que les derniers gourmands rejoignent le club house.
Ensuite, il rangera, nettoiera, pliera, toujours avec son équipe. Boira un coup avec le sentiment du travail bien fait, et rentrera chez lui avec son odeur de frites.
Content de lui, heureux des autres, en attendant le prochain dimanche à domicile pour pouvoir tout recommencer…

Il est gentil... les bénévoles, cette année, ils sont restés à la maison, ou alors, considérez qu'on a tenu les buvettes en visio... d'ailleurs, je tiens à le faire remarquer, il y en a qui croient que comme c'est en visio que vous n'êtes pas tenus de dire bonjour en commandant vos binouzes... je démens !

Toujours les bénévoles sur Facebook Mr RUSIGBY

Monsieur Rusigby




Le piège
Repas de famille juste avant la rentrée. Le père, la mère et les deux gamins. Un garçon et une fille d'environ 8 ans.
Entre deux plats, le garçon a dit:" Cette année, je veux faire du rugby! ". La mère a dit: "Hein? » Le père a dit: « Du quoi? » La petite sœur a dit: "Moi aussi! "
Le père est surpris la mère ne comprend plus ce qu'il se passe. « Mais enfin, c’est dangereux le rugby ! ». Le fils a dit : « m’en fous, je veux en faire ! » La fille a dit : « Melissa, elle en fait depuis au moins deux ans et elle dit que ça fait même pas mal ! »
Ma foi ! On essaie, et on verra bien…
Le père, pas trop rassuré, préfère rester au bord du terrain pendant les premiers entrainements. On ne sait jamais.
L’éducateur, l’interpelle : « tant qu’à faire de rester au bord, vous pouvez m’aider à installer les plots ? »
Et là, le père, il ne le sait pas encore, mais il est tombé dans le piège. Il a rien vu venir, et il va aider à installer les plots. Une fois, deux fois, et à la fin, il aide les gosses à tout ranger, et puis…. Le responsable de l’école de rugby vient le voir et l’enfume proprement, avec des histoires d’assurances, de responsabilités, de on sait jamais et de : vaudrait mieux prendre une licence, c’est plus prudent. S’il le dit, c’est que ça doit être vrai..
Le père est content de participer aux entrainements et de monter dans le bus avec les autres pour les tournois. Mais bon, dans l’histoire, y a la mère aussi. Et elle, elle est pas trop contente. On lui demande juste de faire des gâteaux pour les après entrainements ou après match, et elle trouve que c’est pas super valorisant, même si ça reste sympa quand même. Et puis c’est vrai que ce rugby c’est pas si dangereux. C’est vrai que ses gamins y ont trouvé un petit quelque chose de plus… Et cette histoire de baby rugby ? Cette recherche d’éducateur pour les tout petits ? Pourquoi pas elle ? Elle apprendra en même temps que les petitous et son mari continuera à s’occuper des papiers, des licences et des comptes, vu que c’est dans ce domaine qu’il est le plus compétent…
Et voilà… Elle aussi piégée, aspirée, accrochée, alpaguée…
Repas de famille, juste avant les vacances d'été. La famille est à la bourre. La mère mange tout en finissant de faire cuire les gâteaux pour le tournoi de l'école de rugby du lendemain. Les deux gamins ne tiennent pas en place à cause du tournoi de l'école de rugby du lendemain. Et surtout, le père se dépêche de manger... Faudrait quand même pas qu'il arrive en retard le jour où il va être élu trésorier du club à l'assemblée générale

En fait, je crois sincèrement que le bénévole n'est jamais "piégé"; il est plutôt passé du simple et affectif accompagnement de son gamin aux premières pas d'une implication plus pratique de l'exercice de dirigeant suite à l'invitation spontanée d'un éducateur psychologue.

Chaque fois que j'ai accompagné mes enfants, ça s'est toujours passé comme celà et j'y ai trouvé finalement beaucoup de plaisir !

Oui on a tous été recruté un peu comme ça pour devenir dirigeant/entraîneur d'un club, pour moi ça a duré 25 ans avant d'être muté pour un retour dans le Sud-Ouest ...

Même process sur le site d'allezdax.com ! Au début on prend part aux discussions, on donne sa perception, on se lâche, on bataille ... et un jour une des "figuras" du site ( ... Kekito par exemple ) vous demande si tu veux bien faire un article, un compte-rendu, une présentation ... tu mors au truc, tu t'impliques et ... tu es dans l'engrenage, dans l'équipe des rédacteurs amateurs/occasionnels !

Y a pire... , c'est tout de même sympa, c'est pour la bonne cause du Rugby Dacquois et une implication dans l'animation du site de supporters rouge & blanc allezdax.com !

Pierdax écrit

Même process sur le site d'allezdax.com ! Au début on prend part aux discussions, on donne sa perception, on se lâche, on bataille ... et un jour une des "figuras" du site ( ... Kekito par exemple ) vous demande si tu veux bien faire un article, un compte-rendu, une présentation ... tu mors au truc, tu t'impliques et ... tu es dans l'engrenage, dans l'équipe des rédacteurs amateurs/occasionnels !

Y a pire... , c'est tout de même sympa, c'est pour la bonne cause du Rugby Dacquois et une implication dans l'animation du site de supporters rouge & blanc allezdax.com !


Et dans un mois le bénévolat reprend ;
AVIS aux AMATEURS on espère des renforts

En parlant de rabatteur et de corrida, j'ai une place en tendidos couvert à vendre pour les corridas du 13 août (18h), 11 et 12 septembre (17h). Cette place est à côté de la mienne et domine l'espace du tercio des piques.

Mon tél. est le 06 03 39 15 55.

On aurait pu appeler la rubrique : "au bon coin d'allezdax.com" ...

... entre Francis qui recherche des rédacteurs et Marcos qui veut refourguer des places de corridas ... on attend que Benoît August passe une annonce pour recruter un bon pilier gauche au meilleur prix, le site est à disposition.