En visitant la boutique, on peut retrouver un descriptif par maillot qui nous donne des détails sur les motifs présents en fond sur chacune des tenues :

Maillot rouge : remparts de la ville (motif briques)

Maillot blanc : Adour (motif vagues)

Maillot noir : forêt landaise (motif écorce)

Un visuel qui rappelle la très bonne cuvée 23-24 qui comprenait sur le même principe des éléments rugby, dacquois et landais (alors que la 24-25 était ultra-simpliste en plus d'être anachronique, mais les goûts et les couleurs, chacun a son avis sur la moutarde).

Une très bonne initiative à souligner et que j'applaudis, à ajouter à celle de l'hommage à JP Bastiat en intérieur du maillot (une pratique déjà en place à Brive par exemple, voir allezbriverugby.com/news/les-maillots-du-ca-brive.../ ), une manière simple mais pertinente de faire un coup de projecteur sur le passé du club.

la programmation de la J.6 est tombée

DAX / VANNES aura lieu le jeudi 02 octobre à 21h00 et retransmis sur Canal + Sport

Bonjour!

Concernant la dernière vidéo dans les coulisses de l'équipe lors de son déplacement à Angoulême, je tenais à féliciter les équipes comm' de produire ce genre de contenu: perso je trouve ça très sympa à suivre, les plans sont chouettes, on retrouve un peu ce genre de formats pour bien d'autres équipes (et le fameux "Destins mêlés" du XV de France) et dnc c'est cool d'avoir quelque chose d'aussi quali pour notre club.

Bref, j'aime bien et j'ai hâte de la suite !

C'est aussi le genre de petits formats qui permet de se rendre compte des petits discours des leaders, et d'ailleurs j'ai été (agréablement) surpris de la très grosse prise de parole d'un David Lolohea à la MT du match contre Soyaux. Concernant Aletti, dont certains le trouvent trop "tendre" en tant que capitaine en comparaison d'un JB Barrère, on peut penser ce qu'on veut de son apport sportif mais indéniablement c'est un mec qui pèse dans cet effectif. De même, le discours d'un Romuald Séguy à la fin du match contre Angoulême quand l'équipe est en cercle et se dit les choses.

J'ai le sentiment en tout cas que le groupe vit "bien" malgré la situation du club, et je pense qu'au-delà du sportif on va s'en sortir en étant hyper soudé et en se défonçant les uns pour les autres. La saison de notre qualif historique s'est jouée -entre autres- sur notre état d'esprit de camaraderie et d'une bonne bande de potes avant tout.

On va se souhaiter le meilleur contre Oyo vendredi. Bonne semaine de prépa et allez Dax !

Merci Nathan de m'avoir donner envie d'aller sur le site Facebock du club pour effectivement partager ce reportage des vestiaires Dacquois à Angoulême;

Effectivement, il est utile que des voix de leaders commentent, encouragent et donnent le sens de la progression utile du jeu. Plus encore dans cette période d'échec sportif (3 défaites consécutives) et administratif (-5points ...), les efforts supplémentaires doivent être rappelés entre joueurs !

Le prochain match est essentiel pour que ces voix de leaders continuent à devenir audibles et pleines de sens, pour que le classement enfin positif renforce la normalité de l'effort récompensé et l'espoir de jouer un vrai rôle dans la compétition ProD2.

Aller Dax !

C'est vrai que depuis 3 ans ces vidéos de l'Agence vision sont très sympa ! On peut les retrouver sur la chaîne YouTube du club aussi, il y a même celles des saisons passées.

Le journal régional Sud-Ouest consâcre aujourd'hui son titre et 3 pages suite au décès accidentel, hier, de Jean-Louis Bérot.

Personnellement, j'ai apprécié ce grand joueur, ses capacités d'entrepreneur et sa fidèlité pour l'USD.

Condoléances sincères pour sa famille

Aurillac Dax dans Sud-Ouest



US Dax. « On joue bien au rugby, mais on ne se paye pas », déplore Vincent Etcheto après la défaite bonifiée à Aurillac
ar La rédaction landaise (avec M. B.)
Publié le 18/10/2025 à 15h42.
Le manager dacquois regrette le manque de maîtrise de ses joueurs, qui n’ont pas réussi à conserver leur avantage en supériorité numérique dans le Cantal (36-33), vendredi 17 octobre. Après cette sixième défaite en sept journées, la situation devient urgente

À première vue, ce point de bonus défensif pris à Jean-Alric, chez un Stade Aurillacois performant à domicile, ne ressemble pas à une mauvaise opération (36-33). À première vue seulement. Car au regard de la physionomie de la rencontre, avec 14 points d’avance (13-27 à la 33e) et à 15 contre 14 après le rouge contre Oudard (24e), l’US Dax est repartie du Cantal avec des regrets légitimes. Notamment sur cette dernière action litigieuse, qui a conduit madame Groizeleau à ne pas prendre de décision et à se référer à la vidéo. Celle-ci n’est pas claire : l’arbitre originaire de Charente-Maritime, qui ne voit pas le ballon aplatit derrière la ligne sur le ballon porté, décide finalement de ne pas valider l’essai après la sirène.

« On était pendu à la décision de l’arbitre, soupire le manager dacquois Vincent Etcheto, qui avait demandé à ses joueurs de prendre les trois points pour assurer le match nul. Ce que je regrette c’est qu’elle a levé le bras et, ensuite, elle a dit qu’il n’y avait pas de décision terrain. Après, c’est sûr que si on ne voit pas le ballon, il n’y a pas essai… Elle était sous pression. Elle a sorti ce carton rouge. Je n’ai pas revu les images, mais pour moi c’est un tête contre tête, c’est mérité. Mais ça reste anecdotique, parce qu’Aurillac est revenu dans le match en jouant au rugby. C’est une des premières équipes qu’on rencontre qui se fait des passes. C’est agréable. »

« On a été un peu timide »
En supériorité numérique pendant près d’une heure, ses joueurs n’ont pas réussi à résister au retour d’Aurillacois joueurs et entreprenants. « On a fait 20 minutes en seconde période où on est trop attentiste. On rend les ballons alors qu’on aurait pu les tenir. On fait le match qu’il faut à l’extérieur. On a un coup de pouce avec ce carton. Mais, on a pris des essais trop facilement et on n’en a pas marqué assez… »
Comptablement, la situation des rouge et blanc se complique. Seule équipe à ne compter qu’un seul succès après sept journées, l’USD est désormais repoussée à sept longueurs de Mont-de-Marsan (15e) et d’Angoulême (14e), à huit de Biarritz (13e) et à neuf de Carcassonne (12e). Les Dacquois sont donc condamnés à l’emporter à Boyau face à Béziers, vendredi 24 octobre, sous peine de continuer à s’enfoncer et de voir la mission maintien sérieusement se compliquer. « Je le dis et je le répète aux joueurs : on joue bien au rugby, affirme Etcheto. On ne se paye pas, mais on va continuer de jouer de mieux en mieux. Notre jeu est en place, mais cela aurait dû payer ce soir. On a été un peu timide et timoré. On ne s’en sortira que si on est généreux. Dans l’effort, les joueurs l’ont été ce soir. Mais dans le jeu aussi, il faut l’être, Et là, je pense qu’on a été un peu timide… »

Oui on joue bien parfois mais on défend très mal et ce n'est pas à la 82ieme qu'on ne le gagne pas ce match car face à 14 Cantalou et 14 points d'avance on doit mettre plus de pression et les faire douter . On les regarde un peu trop nous défier sur des attaques classiques où ils se retrouvent en surnombre alors qu'ils sont 1 de moins.
De plus qu'est-ce qu'on tergiverse dans nos 22m alors qu'il faut rapidement porter le jeu le plus loin possible

Aïe aïe aïe les mauvaises nouvelles continuent. D'après Rugbyrama, Nacika est visé par une obligation de quitter le territoire français, son titre de séjour n'ayant pas été renouvelé.

Pour lire l'article ICI

C'est une catastrophe... on ne nous aura rien épargné cette saison

jerome écrit:

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C'est une catastrophe... on ne nous aura rien épargné cette saison

Sa copine, une saint pauloise, n'est donc pas prise en compte...Va falloir mettre en couple rapidement Jope

DALTON écrit:

jerome écrit:

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C'est une catastrophe... on ne nous aura rien épargné cette saison

Sa copine, une saint pauloise, n'est donc pas prise en compte...Va falloir mettre en couple rapidement Jope

Malheureusement ça ne suffit pas ^^
En soi la décision, administrativement parlant n'a rien de surprenante. Mais bon...
Il peut toujours, heureusement, faire un recours. De là à ce que ce soit accepté c'est un autre débat.
Il est fidjien, pas algérien.

A mon avis, le club doit aider Nacika et plaider, comme sûremment lors du jugement ou cette 1ère condamnation l'a été justement avec surcis. Il a un contrat de travail en cours, est en couple avec une fille Pays, est apprécié par son entourage, etc...

Le 10 octobre dernier, le deuxième ligne de Dax, Ratu Nacika, était sommé par la préfecture des Landes de quitter, sous 30 jours, le territoire français. En ce début de semaine et à quelques jours de l’échéance, son avocate, Maître Selvinah Pather, spécialisée en droit des étrangers, a accepté de s’exprimer. Elle déposera un recours pour contester cette décision vendredi et pointe du doigt une mesure d’une “extrême sévérité”.

Quelle est la situation de Ratu Nacika aujourd’hui ?

Il a reçu un refus de renouvellement de son titre de séjour avec obligation de quitter la France. Il m’a saisie pour qu’on conteste cette décision. Le traitement des étrangers est différent de celui des Français, qui passeraient au tribunal correctionnel pour de mêmes infractions. Il y a une sévérité particulière. Les faits que mon client a commis sont tout à fait répréhensibles. Il a été condamné pour ça (à un an de prison avec sursis pour "agressions sexuelles, violences et dégradation ou détérioration d’un bien en état d’ivresse manifeste”, NDLR). Il n’y a pas de débat. […] En novembre dernier, le juge pénal qui l’a condamné a dit qu’il avait commis une infraction, tout en mentionnant que c’était une personne bien intégrée, qui a eu cet écart de conduite complètement isolé, à replacer dans un contexte festif. Il n’a donc pas prononcé d’interdiction du territoire français. On entre, là, dans les complexités procédurales. Le juge pénal pouvait, à son stade, prononcer une interdiction du territoire français (ITF). Il ne l’a pas fait.

Sauf que le mois dernier, la préfecture lui a adressé cette OQTF…

Le préfet fait sa propre appréciation de la situation. Il fait preuve d’une extrême sévérité à l’encontre de M. Nacika. Cette décision n’est pas définitive et nous allons la contester au tribunal. La politique migratoire appliquée par le gouvernement et les instructions qui sont données aux préfectures sont d’une grande sévérité actuellement. […] La loi dit, quand même, que pour qu’une mesure d’éloignement soit prononcée parce que vous êtes une “menace à l’ordre public” (tels sont les termes employés dans le document administratif, NDLR), il faut des infractions réitérées. Une seule condamnation, pour des faits criminels, peut suffire à ce que l’on ne veuille plus de vous sur le territoire, mais pour M. Nacika, ce sont des faits délictuels. Vous n’êtes pas sur le cas d’une personne qui est sans cesse en train de commettre des infractions et qui passe pour la dixième fois devant le tribunal correctionnel.

Dès lors ?

Les décisions préfectorales peuvent être contestées devant un juge, elles ne sont pas forcément légales. Il y a plein de critères à évaluer lorsqu’on veut vous éloigner du territoire : votre vie familiale en France, votre insertion. M. Nacika est très intégré. Oui, il a été condamné, mais il faut mettre ça en balance avec tout le reste. Souvent, cette balance est faite de manière inconsidérée par le préfet qui, lui, prend des OQTF et fait un exemple. Heureusement qu’on a le juge qui a une objectivité, une indépendance et il pourra faire la balance entre tous les éléments de son dossier. Il faut savoir que M. Nacika a honte de son écart de conduite. Pour lui, c’était déjà une sanction, en elle-même, que de devoir se présenter devant le juge. Je n’ai rien à dire sur les violences qu’il a commises et sur l’agression sexuelle pour laquelle il a été condamné, car la justice a fait son travail. La loi a été appliquée. Ce que je dis, en revanche, c’est que sur le volet administratif, pour donner une OQTF à quelqu’un, il faut évaluer son comportement dans le temps. Ce n’est pas un acte isolé qui, de mon point de vue, fait que vous êtes une "menace à l’ordre public". C’est hyper violent d’entendre dire ça. Ça découle de tout un système et une politique appliqués par les préfectures. Si on regarde l’actualité politique d’une manière générale, depuis un, deux, ou trois ans, les déclarations publiques du gouvernement et du ministre de l’Intérieur ne sont qu’une escalade dans la sévérité. Pourquoi lui ? Il n’y a pas vraiment de raison. Nous, on considère que la décision est d’une extrême sévérité et qu’elle est disproportionnée. Elle n’est pas conforme à ce que disent la loi et la jurisprudence.

Quand sera déposé le recours pour contester la décision ?

On a un délai d’un mois, à compter du jour où il a reçu l’OQTF, pour le déposer. Ce sera fait vendredi.

Le recours est-il suspensif ?

Oui, de la mesure d’éloignement.

Ratu Nacika n’aura donc pas à quitter le territoire ce week-end ?

C’est ça. Le dépôt du recours suspend l’exécution de l’OQTF. Il n’a pas à quitter le territoire jusqu’au jour où le juge rendra sa décision.

Quelles sont les prochaines étapes pour lui ? Sa licence étant suspendue, il ne peut plus travailler…

C’est l’avocat du club (Maître Christophe Cariou-Martin, N.D.L.R.) qui gère ce volet-là. Le recours de vendredi a pour but de demander l’annulation de l’OQTF et, parallèlement, on va demander à ce qu’il récupère, provisoirement, l’autorisation de pouvoir travailler.

Quelle est la position du joueur ?

Plus qu’un bouleversement, cette mesure d’OQTF est un cataclysme pour lui. Il a, déjà, très bien compris la leçon avec la condamnation de novembre 2024. M. Nacika veut faire passer le message qu’il ne reproduira jamais cet écart de conduite. Il s’est remis en question. Il ne touche plus à une goutte d’alcool. Il a déjà été condamné par le tribunal correctionnel. Il a sa vie ici. Il est intégré. Sa compagne est une ressortissante française. Il a toute une famille qui compte sur lui, derrière, dans son pays d’origine. Il veut se consacrer totalement à sa carrière de rugbyman. Recevoir cette décision du préfet, qui met fin à tout ça, ça l’a totalement bouleversé. C’est tout un rêve qui se casse la figure, mais il est dans l’état d’esprit de faire valoir ses droits, devant un tribunal.