j'ai eu beau le chambrer, le critiquer mais je vais laisser le rugby de côté en ce moment pour souhaiter beaucoup beaucoup de courage à mathieu Maillard et son épouse aprés ce deuil qui les a frappé. En effet Mathieu vient de perdre son fils Lilian agé de 2 ans des suite d'une intervention chirurgicale mercredi.Toutes mes condoléances à la famille et beaucoup de courage. Quelle horreur un tel malheur !! Courage !!

terrible nouvelle!
Courage a lui

c'est même difficilement imaginable quand on ne l'a pas vécu. Courage.

Je me joins a vous tous pour ce drame et partage la douleur des parents.Beaucoup de courage dans ces moments tres difficiles.

Oh mais quelle horreur. C'est terrible ce drame qui le touche lui et sa femme. Je leur souhaite vraiment beaucoup de courage.

Toute l'équipe d'Allezdax.com souhaite tout le courage possible à Mathieu, sa femme, ses proches.

quel drame, bon courage à toute la famille

Car la vie continue voilà de ses nouvelles personnelles et rugbystiques : (la depêche)

Superbe carrière que celle de Mathieu Maillard. Après avoir joué à Toulouse, Biarritz, Dax, Bayonne,Valence -d'Agen il est revenu à Fumel. Samedi, il foulera la pelouse du Stade de France.

«Après un long voyage, il est revenu plein d'usage et raison… », à côté de sa belle-famille à Saint-Georges, où son beau-père est maire, à deux pas du village (Libos) d'où son épouse est originaire. Il n'est pas loin du pays monflanquinois qui l'a vu naître et faire ses premiers pas rugbystiques sous les couleurs de l'association Monflanquin-Saint-Aubin (son père évoluant à l'époque à Saint-Aubin). D'ailleurs, il compte toujours de nombreux amis dans la bastide qui le retrouve toujours avec le plus grand plaisir.

Sa carrière l'a conduit chez les professionnels à Toulouse, Biarritz, Dax, Albi, Bayonne. Après une petite halte à Valence-d'Agen, il a retrouvé Fumel. Avec l'aide de Provale, Mathieu Maillard est devenu commercial chez Gédimat à Tonneins, « ça me plaît bien », nous dit-il. A 31 ans, a-t-il renoncé au rugby professionnel pour réussir une reconversion professionnelle ? Possible, mais pas certain. « Il ne faut jamais dire jamais », nous dit-il.

Encore cinq années
Il a été au cours de cette saison l'atout maître du rugby fumélois. Sa blessure à Bergerac (fracture du bras), début janvier, a été un coup dur pour lui-même et pour son club l'USFL qui s'est peu à peu enfoncé dans le ventre mou du championnat. Certains, après l'avoir aperçu sur le banc fumélois pour diriger la réserve un dimanche en l'absence de Denis Mayor, le voyaient déjà capitaine-entraîneur de l'USFL et succéder à Philippe Maradènes. Il est tenté par l'aventure, mais pas avant d'avoir terminé sa carrière de joueur. Et à ce propos, il nous confie : « J'espère faire cinq ou six ans de plus ».

Vous n'irez pas jusqu'à 46 ans comme Igor Mironov ?

« Je ne pense pas. Lui, c'était une sorte de machine exceptionnelle sur un terrain. Je ne pense pas franchir, la barre de la quarantaine ! ».

Préférez-vous jouer au pied ou à la main ?

« Si je pouvais, je jouerais tout à la main, ça me procure un immense plaisir ! Mais avec le rugby moderne, c'est impossible, il faut de plus en plus jouer au pied ! D'ailleurs au Passage, contre Midi-Pyrénées, il était impossible d'ouvrir. »

« Je me suis entretenu »
Depuis le début janvier, Mathieu Maillard n'a joué qu'un match contre Malemort à Fumel. Est-il en forme malgré ce manque de compétition ? « Je me suis entretenu, j'ai fait du vélo en particulier. La forme ne s'en va pas comme ça ! J'ai également tapé. Je crois que tout va bien en ce domaine ».

Il n'aime pas perdre ! Il va à Paris pour gagner face à la Bourgogne et pour faire rêver les jeunes générations. Il aimerait bien leur transmettre son savoir, comme ses aînés l'ont fait avant lui ! International amateur, joueur professionnel, il a encore de l'appétit pour essayer de croquer cette Coupe de la Fédération avec ses équipiers de Périgueux, Marmande, Belvès, Ribérac, Bon-Encontre, en ayant une pensée pour ceux qui ont participé à l'aventure et qui ne seront pas au Stade de France.

Un plaisir

Jouer au Stade de France, c'est un grand moment ? « En 2005, lors de la finale entre le Stade français et Biarritz, je m'étais échauffé au Stade de France, un joueur étant incertain, mais je n'étais pas entré. Cette fois-ci, j'aurai le plaisir de jouer, mais c'est différent, car la compétition n'est pas la même ! Nous avions fait avec le groupe du P.-A., de ce rendez-vous au Stade de France, l'un de nos objectifs. »

Mathieu Maillard avait été l'un des acteurs décisifs de cette qualification. A Lectoure, face à l'Armagnac-Bigorre, il avait inscrit un précieux essai, juste avant le repos, tandis qu'au Passage, il avait été l'unique réalisateur avec six pénalités !