Bourgoin |
27 Aoû 2009 10:36 #40319 par bruno
Après l’annonce du renoncement du groupe GL Events de racheter le club de Bourgoin, le CSBJ est de nouveau dans le flou le plus total quant à son avenir. Arnaud Dagorne, directeur général de la LNR, croit encore au sauvetage du club.
Après l’inattendue annonce de la décision de GL Events de ne pas entrer dans le capital de Bourgoin, le CSBJ a reçu un nouveau coup de poignard qui pourrait s’avérer fatal. Il s’agit en effet d’une nouvelle carte qui s’envole et qui rapproche un peu plus le club du spectre du dépôt de bilan. Interrogé à ce sujet lors de l’inauguration de la nouvelle tribune du Racing-Métro 92, Arnaud Dagorne, directeur général de la Ligue Nationale de Rugby, regrette ce retournement de situation de dernière minute : « L’échec des négociations entre l’éventuel repreneur et le club est très dommageable pour le financement du club et la libération des joueurs. Il y a quand même douze joueurs qui ne sont pas encore homologués contre Biarritz et le Racing Métro mercredi. »
Pour Arnaud Dagorne, c’est aux dirigeants du CSBJ d’œuvrer pour sortir le club de la tourmente : « Les solutions sont entre les mains des quelques dirigeants qui existent. Nous leur avons envoyé un courrier pour qu’ils nomment un président, car c’est un club qui n’a pas de président, sans parler du budget qui n’est pas assuré... regrette t-il. On les a rappelés à cette obligation. Il faudrait, dans les jours qui viennent, le financement d’un sponsor qui vienne pour aider à débloquer les licences. » Si la situation venait à ne pas trouver d’issue favorable, la Ligue n’exclut pas de poursuivre le Top 14… à 13. Une grande première. « On peut toujours l’envisager, comme on avait peur que Auch, en cours de saison dernière, nous quitte au mois de décembre, explique encore Dagorne. C’est pour ça qu’on va tout faire pour aider le club, comme on le fait depuis quelques semaines, pour qu’on n’en vienne pas là et que ce super championnat qui débute soit aussi une première avec une rétrogradation ou un dépôt de bilan. »
Une perspective qui, il est vrai, ferait tâche. Aujourd’hui, une question se pose. N’y avait-il pas de possibilité de prévoir ces difficultés financières bien avant le début du championnat ? Car, non seulement les équipes qui affronteront Bourgoin dans le futur ne seront pas sur le même pied d’égalité que Clermont (28-37) et Castres (29-9) qui ont affronté une équipe berjalienne largement amoindrie par le blocage d’une douzaine de licences, mais en plus, une autre équipe évoluant aujourd’hui en Pro D2 aurait pu prendre la place du CSBJ. Mais selon Arnaud Dagorne, Bourgoin n’a pas toujours autant souffert : « Le club était sain au 30 juin. Simplement, comme tous les clubs, il y a des ressources à trouver pendant l’été. Il y a avait cette fameuse augmentation de capital qui n’a pas trouvé preneur depuis le 21 juin et qui fait défaut maintenant. Les moyens de pression que l’on avait, c’était l’interdiction de repartir en Top 14, mais il n’y avait pas nécessité ici. Ou alors de limiter la masse salariale dès le départ, mais on ne savait pas que l’augmentation de capital n’allait pas se faire », se défend Dagorne. Et le directeur général de la LNR croit encore au sauvetage du CSBJ, pour qui la Ligue apporte son soutien le plus total : « La situation de Bourgoin, on la suit depuis deux mois, il y a un épisode majeur qui est arrivé aujourd’hui (mercredi) mais je dirais que la guerre n’est pas finie car nous allons tout faire dans les semaines à venir pour que ce club joue son championnat jusqu’au 25 avril. » La mission s'annonce compliquée.
Propos recueillis par Eric Camacho
Après l’inattendue annonce de la décision de GL Events de ne pas entrer dans le capital de Bourgoin, le CSBJ a reçu un nouveau coup de poignard qui pourrait s’avérer fatal. Il s’agit en effet d’une nouvelle carte qui s’envole et qui rapproche un peu plus le club du spectre du dépôt de bilan. Interrogé à ce sujet lors de l’inauguration de la nouvelle tribune du Racing-Métro 92, Arnaud Dagorne, directeur général de la Ligue Nationale de Rugby, regrette ce retournement de situation de dernière minute : « L’échec des négociations entre l’éventuel repreneur et le club est très dommageable pour le financement du club et la libération des joueurs. Il y a quand même douze joueurs qui ne sont pas encore homologués contre Biarritz et le Racing Métro mercredi. »
Pour Arnaud Dagorne, c’est aux dirigeants du CSBJ d’œuvrer pour sortir le club de la tourmente : « Les solutions sont entre les mains des quelques dirigeants qui existent. Nous leur avons envoyé un courrier pour qu’ils nomment un président, car c’est un club qui n’a pas de président, sans parler du budget qui n’est pas assuré... regrette t-il. On les a rappelés à cette obligation. Il faudrait, dans les jours qui viennent, le financement d’un sponsor qui vienne pour aider à débloquer les licences. » Si la situation venait à ne pas trouver d’issue favorable, la Ligue n’exclut pas de poursuivre le Top 14… à 13. Une grande première. « On peut toujours l’envisager, comme on avait peur que Auch, en cours de saison dernière, nous quitte au mois de décembre, explique encore Dagorne. C’est pour ça qu’on va tout faire pour aider le club, comme on le fait depuis quelques semaines, pour qu’on n’en vienne pas là et que ce super championnat qui débute soit aussi une première avec une rétrogradation ou un dépôt de bilan. »
Une perspective qui, il est vrai, ferait tâche. Aujourd’hui, une question se pose. N’y avait-il pas de possibilité de prévoir ces difficultés financières bien avant le début du championnat ? Car, non seulement les équipes qui affronteront Bourgoin dans le futur ne seront pas sur le même pied d’égalité que Clermont (28-37) et Castres (29-9) qui ont affronté une équipe berjalienne largement amoindrie par le blocage d’une douzaine de licences, mais en plus, une autre équipe évoluant aujourd’hui en Pro D2 aurait pu prendre la place du CSBJ. Mais selon Arnaud Dagorne, Bourgoin n’a pas toujours autant souffert : « Le club était sain au 30 juin. Simplement, comme tous les clubs, il y a des ressources à trouver pendant l’été. Il y a avait cette fameuse augmentation de capital qui n’a pas trouvé preneur depuis le 21 juin et qui fait défaut maintenant. Les moyens de pression que l’on avait, c’était l’interdiction de repartir en Top 14, mais il n’y avait pas nécessité ici. Ou alors de limiter la masse salariale dès le départ, mais on ne savait pas que l’augmentation de capital n’allait pas se faire », se défend Dagorne. Et le directeur général de la LNR croit encore au sauvetage du CSBJ, pour qui la Ligue apporte son soutien le plus total : « La situation de Bourgoin, on la suit depuis deux mois, il y a un épisode majeur qui est arrivé aujourd’hui (mercredi) mais je dirais que la guerre n’est pas finie car nous allons tout faire dans les semaines à venir pour que ce club joue son championnat jusqu’au 25 avril. » La mission s'annonce compliquée.
Propos recueillis par Eric Camacho
ROUGE ET BLANC 1 JOUR ,ROUGE ET BLANC TOUJOURS !
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allez je me lache et tant pis si je prends un avertissement ou que je me fais virer de ce forum mais SACREBLEU quoi qu'est ce que c'est ces FLEURS et enc...és à la DNACG ? MADRE DE DIOS ils font ME FONT DEFEQUER le stade montois alors que ces plouks laissent repartir Bourgoin en top 14 avec un bordel monstre et une magouille impressionnante !!! Franchement je suis ecoeuré pour les montois et ça me fais VOMIR cette organisme à la mord moi le noeud !!! ( ah quand meme, tu es tres souple )
Courage au stade Montois et les autres qu'ils aillent se faire...... !!!!!!!!!!
Punaise amis montois faites des banderoles pour demain soir pour les traiter de tout !!!!
EDIT alexf, j'ai simplement rajouté un peu de poesie ca sera plus doux pour les jeunes yeux qui nous lisent. Inutile de leur apprendre des mots et des expressions grossiere
Courage au stade Montois et les autres qu'ils aillent se faire...... !!!!!!!!!!
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EDIT alexf, j'ai simplement rajouté un peu de poesie ca sera plus doux pour les jeunes yeux qui nous lisent. Inutile de leur apprendre des mots et des expressions grossiere
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